L·égal·e outille les entreprises pour leur permettre de lutter efficacement contre les violences sexistes et sexuelles et les discriminations au sein de leurs équipes.
Nos solutionsDes formats courts pour permettre à vos équipes de s’approprier les éléments clefs de la lutte contre les violences sexistes et sexuelles.
Pour s’approprier finement les notions relatives aux violences sexistes et sexuelles et savoir comment (ré)agir efficacement. À destination des équipes encadrantes, des personnels des ressources humaines, des représentant·e·s du personnel ou des syndicats.
Une maîtrise des connaissances approfondie et des mises en application poussées. À destination des directions et du personnel des ressources humaines, des personnels encadrants, des syndicats, des représentant·e·s du personnel, des membres de cellule d’écoute et de prévention, des membres de section disciplinaire, des référent·e·s harcèlement et de la direction.
Nous vous proposons des outils de communication interne sur mesure qui vous permettent de faire infuser au quotidien les principes et les outils nécessaires à la lutte contre les violences sexistes et sexuelles en entreprise.
Pour mettre à profit les moments plus informels de la vie de votre entreprise, nous avons développé des formats qui conjuguent légèreté sur la forme et impact sur le fond.
Ajoutez-vous directement à l’agenda d'Elsa Bourdot, co-fondatrice et dirigeante de L·égal·e pour un premier contact.
Nous savons aussi que les défis pour combattre efficacement les préjugés et les comportements répréhensibles sont nombreux : résistance cognitive, méconnaissance des enjeux et des faits, formations et outils inadaptés.
C’est pour toutes ces raisons que L·égal·e existe et propose aux entreprises industrielles françaises des outils spécifiquement adaptés à leurs besoins et à leurs défis.
Savez-vous faire la différence entre humour, drague, sexisme et violences sexuelles ?
Découvrez-le grâce à notre quiz.
Un salarié tient régulièrement à une autre collègue des propos lourdingues sur son « beau décolleté », ses fesses « bien rebondies » et ses « longues jambes », qui est désormais un peu angoissée à l’idée de le croiser.
Un salarié pince la poitrine de sa collègue en rigolant et crie « POUET POUET, CAMION ! ». La collègue est extrêmement choquée de la situation, mais il se défend en lui disant qu’il ne faisait que rigoler et ne voulait pas la vexer. Ce comportement est :
Une salariée dit à un autre collègue « tu as vraiment un joli petit cul », ce qui met en colère ce dernier car il trouve sa remarque déplacée. C’est :
Le directeur du service communication de votre entreprise aime bien présenter son assistante et sa collaboratrice comme “la team blonde” auprès des clients. Il raconte aussi souvent des blagues sur les femmes, dont sa préférée, qui consiste à dire qu’il possède le lave-vaisselle le plus efficace du marché : son épouse. Ses deux collaboratrices sont assez mal à l’aise, mais n’osent rien dire. De quoi pensez-vous qu’il s’agisse ?
Un ou une de vos collègues vous plait et vous lui faites un clin d’œil.
Une salariée se plaint du comportement déplacé d’un collègue, qui a déjà frôlé ses fesses, tenus des propos salaces à son égard et lui a donné le surnom de « pupute ». Personne n’a été témoin de tout cela et le DRH lui répond que, malheureusement, il ne peut rien faire car ce sera « parole contre parole ».
La directrice d’une usine de 230 salarié·e·s est inquiète. Son ami DRH lui a demandé où elle en était dans son plan de prévention des violences sexistes et sexuelles en entreprise. Comme elle n’a jamais eu de cas de harcèlement sexuel et que l’ambiance dans ses équipes est plutôt très bonne, elle pense que ce n’est pas obligatoire mais ne trouve pas la réponse dans le Code du travail. Selon vous, les formations en matière de prévention des violences sexistes et sexuelles sont :